Le diamant de la Joconde

Par L'Orga

Le diamant de Mona Lisa est le plus gros diamant du monde. Vous venez d’apprendre qu’il est dans le bureau du Directeur de la banque nationale de France. Il est temps d’aller vous en emparer.

Toute première fois

Il n’est jamais trop tard pour découvrir une nouvelle licence. Cela fait maintenant presque deux ans que je me suis lancé dans les escape games et je n’avais pas encore eu l’occasion d’aller chez Victory Escape. Du coup, je profite de l’occasion qu’ils aient deux salles identiques pour organiser ça à mon travail.

L’accueil est assez différents, nous passons progressivement du sas de « paiement », puis au vestiaire et enfin au lieu de briefing. Ce dernier est grand et lumineux, capable d’accueillir bon nombre de groupes. La licence nous propose donc de nous servir un verre d’eau agrémenté des sirops de notre choix – présent en grand nombre.

Notre game master nous explique notre mission ainsi que le briefing de façon assez automatique sans trop d’âme derrière.

Un bureau anonyme

Nous entrons donc dans ce qui est le bureau du directeur de la banque de France. Alors pour avoir travaillé dans les locaux de cette banque, nous sommes assez loin de la réalité. C’est sous le niveau du sol – donc sans lumière – assez austère et des pierres apparentes. La décoration est assez peu crédible avec des classeurs vides et des courbes assez insipides : il est donc difficile de se projeter dans le décor.

Les énigmes sont correctes mais assez peu crédibles. On a ici typiquement des énigmes pour avoir des énigmes et non des éléments pleins de sens. On notera cependant que la seconde pièce est bien cachée et qu’il est amusant de la découvrir.

En dehors de ce point, il n’y a pas un grand plaisir à investir les vêtements d’un cambrioleur pour voler le diamant de la Joconde. Néanmoins, nous arriverons au terme de cette aventure sans trop de difficulté.

Et alors ?

Cette première venue est assez décevante, la sortie est complètement anonyme avec un « au revoir » en guise de debriefing sans trop d’interaction avec le personnel. Ni le thème, ni la réalisation ne nous a convaincu. On verra donc pour une prochaine fois.